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LA NAISSANCE, UNE ECOLE DE VIE ?

Venir au monde, c’est quitter la Matrice qui a été notre premier cocon.

Partir à l’école pour la première fois, c’est quitter la Maison et sa Maman. Oui, je mets un M en majuscule à ces mots-là, et je souhaite que vos oreilles puissent entendre ce « AIME » qui se cache derrière cette lettre.

J’ai la chance d’avoir reçu un prénom ( peut-être l'ai-je soufflé à l’oreille de mes parents ?) qui commence par cette lettre M ! Si j’en crois, non pas mes yeux ou mes oreilles,  mais mon ressenti, le travail que j’ai effectué pour venir au monde a été plutôt de nature engagée et investie. Je garde la trace, dans mon lien au travail, un dynamisme et une volonté d’aller du côté de la vie, avec un petit côté de « peu importe les obstacles, j’ai de quoi les surmonter ». Donc, ce M, lettre initiale de mon prénom, je choisis de la manifester chaque jour en un

« Aime la vie, c’est au cœur de la vie qu’est la Magie (L’âme agit) ».

Pour aller plus en profondeur dans les compréhensions du Passage de la Matrice à la Matière, je vous propose de faire un petit tour du côté de Stanislas Grof, qui a répertorié 4 moments-clés (on parle de « matrices » ) dans le passage de naissance. C’est la notion de travail qui est au cœur de ces matrices.

La 1ère  « matrice » est celle de la vie intra utérine, avec l’univers amniotique et la sensation d’être comme un poisson dans l’eau.  Il arrive que  le fœtus ait  la nostalgie du paradis perdu.

La 2ème  « matrice » commence avec la rupture de la poche des eaux, qui marque la fin de la phase aquatique. L’environnement devient hostile, inhospitalier. Le fœtus a la sensation d’être emprisonné, étouffé et victime : il sent qu’il peut mourir si cela se passe mal. Si la 2ème phase est mal vécue, on peut garder comme trace des difficultés à surmonter les épreuves, une mentalité de victime, une inhibition d’action, une difficulté à prendre sa place sur terre,  au sein de la famille ou à l’école. 

La 3ème « matrice » est marquée par la descente du fœtus dans le bassin avec une nécessité de s’engager véritablement et beaucoup d’efforts à faire pour réussir le passage. Phase douloureuse avec la sensation d’un « Si cela continue encore longtemps, je vais mourir ». Si cette phase est vécue uniquement en négatif, on risque de retrouver, dans le quotidien,  des phobies et angoisses, une peur du lâcher prise, une hypervigilance du mental.

La 4ème  « matrice » est la phase d’expulsion qui est une libération. Elle marque la fin de l’union symbiotique et la formation d’un nouveau type de relation. Il faut mourir à la vie intra utérine pour naître à la vie sur terre : la coupure du cordon ombilical et le premier cri marquent ce PASSAGE DE LA MATRICE A LA MATIERE. Si on est là, sur terre, c’est que d’une manière ou d’une autre, on a triomphé !  

Sur terre, d'autres défis nous attendent : celui de s'incarner complètement - véritable travail d'in-corporation, dans lequel l'âme habite le corps et le fait rayonner. Celui de donner du sens à sa vie : on peut entendre derrière le mot "naissance", "né-sens", encore faut-il tendre l'oreille !  Naître à soi pour n'être que soi - notre essence ! Sacré programme ! 


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Revenons à la naissance proprement dite : l’univers intra utérin évoque bien évidemment la thématique de l’EAU.

Les reins et la vessie font partie de l’élément eau en MTC (médecine traditionnelle chinoise). Les REINS représentent la mémoire ancestrale. Nos lignées. Ils expriment les peurs. Ils sont reliés à la thématique de l’écroulement et de l’anéantissement (quand on a tout perdu, dans une faillite, ou quand on doit quitter son pays ou sa maison qui a été détruite). Peut-être êtes-vous sensibles aux problématiques des liquides et des liquidités ? Tout cela est contenu dans la thématique de l’eau et des reins.

Vous savez probablement donner un bon coup de reins pour avancer. Mais savez-vous veiller à ne pas trop vous é-reinter, en allant puiser dans vos reins trop de cette énergie de vie ? Car trop d’éreintement conduit au burn out !!!  C'est très actuel, ne trouvez-vous pas ? 

Dans cette approche ancestrale qu'est la MTC, les reins sont reliés au temps de naissance et entrent en résonance avec les oreilles et les pieds .  Une forme embryonnaire qui partage un même mystère.

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HISTOIRE DE CABINET :

Pour vous illustrer mes propos, et ce lien entre le travail de naissance et scolaire, je me permets de vous raconter une histoire de cabinet.

Un jeune garçon d'une dizaine d'années a d’importantes difficultés en calculs et en mathématiques. De nature plutôt créative, avec une intelligence globale et intuitive, il reste fermé à l’abstraction, à la logique. Il fait beaucoup d’efforts et il est plutôt volontaire. Mais dès qu’il se retrouve seul face à ses fiches de calculs, il est bloqué et perd ses moyens. De nombreux outils lui sont donnés, dont la pratique du Brain Gym, avec en priorité des exercices de latéralité, tels que les mouvements croisés et les huit couchés, afin de réveiller son hémisphère gauche. Même s’il progresse, et même si un travail transgénérationnel (généa-logique) a été fait,  et même si plein de pistes  pertinentes ont été suggérées, le déclic ne s’était pas vraiment fait ! Alors, je « reprends ma copie », et je décide de questionner encore et encore autour de la naissance de cet enfant !

Et c’est à ce moment-là que l’histoire se déroule, comme un tapis rouge …La maman me raconte, ou me conte (compte)  l'histoire des CALCULS RENAUX , en fin de grossesse. Je lui fais répéter le mot de "calculs rénaux", pour qu'elle entende et que son enfant entende et que tous les deux puissent mettre en lien le symptôme et la difficulté scolaire...

Cette maman a donc souffert de calculs rénaux  suffisamment importants et douloureux pour que soit décidé sur le champ une provocation, pour faire naître l’enfant. On peut se questionner dans quelle proportion, dans ce délicat équilibre autour du pas-sage de naissance, dans quelle  proportion l'enfant a compté. Y-avait-il urgence vitale et si oui, qui fallait-il sauver en premier ? La mère ou l'enfant ? 

La mère relate ensuite comment elle a eu peur de mourir, tellement la douleur la submergeait. Incroyable que cette information si essentielle et cruciale n'émerge que plusieurs séances après le début du suivi, alors que systématiquement, je me mets en quête de tous ces détails lors de l’anamnèse initiale et que je les obtiens . Comme si ce détail avait été occulté, nié, ou passé à la trappe ! Disparu du conscient de la maman, mais bien présent dans la mémoire cellulaire de l’enfant, qui est particulièrement anxieux et bloqué par ses peurs. 

Dans cette histoire de vie, plusieurs éléments peuvent être mis en avant.

Premièrement, il faut savoir que les reins résonnent avec le temps de la naissance. En mettant un enfant au monde, nos ancêtres prenaient le risque de mourir. Quand un petit grain de poussière se met en travers du processus naturel de la naissance, les peurs remontent à toute vitesse et nos cellules résonnent encore avec ces drames qui ne sont pas si éloignés de nous …

Dans la provocation, le rythme naturel de l’enfant n’est pas respecté. On peut imaginer sans peine qu’une provocation va faire monter l’adrénaline et le cortisol, hormones du stress…En quelques secondes, la maman doit faire face : elle n’a pas le temps de se préparer véritablement à laisser venir au monde son petit.  Avec pour répercutés dans le monde scolaire, toutes les peurs liées au chronomètre et à la gestion du temps !  

Certainement que le monde médical rétorquera que ce n’est « rien », une provocation ! Et bien moi, je maintiens : « rien », c’est l’anagramme de « rein » et également celui de « nier ». C’est exactement cela dont il s’agit ! Heureusement qu’en kinésiologie, on peut libérer et nettoyer les multiples facettes de ces traumatismes...

Quand le rythme de l’enfant, au moment de sa naissance, n’est pas respecté, il y a des chances pour que le cerveau gauche, qui lui gère la notion de rythme, de structure, de logique, ne se mette pas en place de manière naturelle. Dans cette histoire, il se peut que l’action de la provocation entraîne une réaction (inconsciente) chez l’enfant et qu’il bloque l’accès à tout ce qui est logique (selon le principe de "action - réaction"). Ce n’est pas dans la logique de vie, dans le processus naturel de naissance que de provoquer un accouchement. Bien évidemment, de nos jours, cela assure la vie … Mais où se trouve l’équilibre entre trop agir et laisser venir ? 

Autre élément intéressant de cette histoire : j’ai beaucoup travaillé avec cet enfant la mémorisation des tables de multiplications. Qui dit multiplication dit division… Derrière cet apprentissage se cache, symboliquement, une histoire : notre histoire embryologique. Un spermatozoïde rencontre un ovule, qu’il féconde. Une première cellule se divise en deux, et ensuite s'opère un processus de multiplication . Ainsi se met en route la vie. 

Ma stratégie de réussite pour les tables de multiplication, c’est d’apprendre par cœur les réponses (et non pas l’énoncé en entier), en les prononçant à haute voix, en utilisant le corps comme une caisse de résonance. Pour l'enfant en phase d'apprentissage, il ressent le fait que plus il fait résonner la réponse en lui et plus il écoute le son de sa voix, plus il s'enracine et plus il peut avoir confiance et faire face à cette matière scolaire ! 

Ainsi, les réponses pourraient être : 2,4,6,8,10… ou encore 3,6,9,12 … Mais systématiquement, cet enfant incluait le zéro dans la liste des réponses. Le zéro, c’est le rien. Le rien, c’est le vide … Le vide, c'est le premier grand saut quand on se sent appelé à venir prendre place dans un ventre maternel (moment de la conception) mais dans ce contexte, c'est, non seulement, faire le grand saut de la naissance mais c'est aussi le vide laissé dans le ventre de sa maman, une fois qu'il a pris sa première respiration.  

Subtilement, cet enfant, avec cette particularité dans sa manière de réciter les réponses, racontait à sa manière : "Du rien (zéro), je fais un pas vers la matière",  "je fais le pas sage de la matrice vers la matière !". Mais le stress autour de la naissance restant chez la maman, (elle est  d'ailleurs en souci pour la scolarité de son enfant, et dans une difficulté à lâcher pour faire totalement confiance), l'enfant n'a pas pu, jusque là, exprimer tout son potentiel. 

Next step ? Travailler conjointement (mère et enfant) en séance ce passage de naissance, afin de permettre à tous les deux d'expérimenter la confiance dans l'apprentissage de la vie. 

Enfant en difficulté scolaire, certes ! En difficulté dans les espaces qui lui demandent de raisonner, Mais quelle intelligence subtile en arrière-plan !!! Vibrant dans les espaces qui lui permettent de résonner. Et c'est certainement  cela le véritable cadeau de la vie.

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Au final, dans cette histoire, peut-être que la provocation aura pour sens une "pro-vocation", dans le sens "qui a pour vocation de" ... simplement trouver sa voie et ETRE SOI. C'est aussi cela le défi du thérapeute : accompagner ceux et celles qui viennent en consultation, pour transformer les situations et ressentis qui de prime abord semblent négatifs. Car c'est au coeur de la vie qu'est la magie ! 

Toute ma reconnaissance pour ces belles rencontres de cabinet, qui nourrissent mon coeur et mon âme.

29.8.2017

 

Derrière une difficulté se cache souvent un trésor de vie

  

ASPECTS EMOTIONNELS AUTOUR DES MATHS

Après avoir exploré les problématiques de  "Dyscalculie & Erreurs de calculs", il sera principalement question, ici, de l'émotionnel lié aux opérations mathématiques.

Avec les maths et les calculs, on est dans l'univers du cerveau gauche, spécialiste du raisonnement et de la logique, de la précision et des détails ainsi que des aspects chronologique et rythmique. 

C'est déjà avec l'entrée à l'école que l'on sent si un enfant aura plus d'affinités avec les chiffres ou les lettres et s'il sera capable de s'adapter à la vision de l'école, laquelle va très souvent mettre en avant l'intelligence d'organisation, de précision, de logique, bien plus que l'intelligence créative et intuitive. Or le cerveau de l'enfant, jusque vers 6 - 7 ans, expérimente le monde environnant au travers de l'hémisphère droit, avec un accès à la vue d'ensemble, à la globalité et sans accès au temps chronologique, mais avec une prédilection pour le non verbal et les aspects mélodique et vibratoire : essentiellement et prioritairement kinesthésique, l'enfant prend dans ses mains, apprend et comprend grâce au toucher : curieux de nature, on pourrait dire qu'au travers de ce mode d'exploration tactile, il touche avec son coeur. C'est ainsi qu'il entre en relation avec le monde environnant. 

Ce qu'il faut savoir, c'est que le développement neuronal ne se passe pas au même rythme chez les garçons et chez les filles : les filles, soucieuses de faire plaisir à papa-maman et à la maîtresse, réussiront mieux, vers 7-8 ans, à se formater et à entrer dans le moule que l'école exige. Elles seront aidées par une poussée neuronale des lobes frontaux plus précoce que chez les garçons. Chez ces derniers, on constate souvent au même âge un manque de maturité par rapport aux exigences scolaires : les zones préfrontales ne sont simplement pas prêtes à entrer dans ce mode de pensée organisée, détaillée et précise. Cela n'a donc rien à voir avec l'intelligence ! (Pour les garçons, il faudra souvent attendre l'âge de 13 -14 ans pour qu'ils se réveillent - scolairement parlant -  alors qu'au même moment, les filles se détournent du scolaire pour regarder les garçons...)

Revenons à la thématique du jour : mon propos est de vous faire comprendre le lien entre l'émotionnel et les blocages autour des opérations mathématiques : quand le jeu émotionnel prend le dessus, quand l'émotion n'est plus é-motion ( énergie en mouvement) , alors il risque d'y avoir blocage.

Quand la structure familiale perd son équilibre, parce qu'il y a une naissance, une séparation, ou un décès, le cerveau doit intégrer les données émotionnelles et doit comme se ré-organiser. Dans l'idéal, le système limbique (cerveau de nos émotions et de notre mémoire) doit faire circuler les informations jusqu'au cortex, sans bloquer.

"Faire des +" (dans le langage de l'enfant), cela signifie additionner ou ajouter. "Faire des -", c'est soustraire ou enlever. L'arrivée d'un petit frère ou d'une petite soeur signe une addition, alors que la mort du poisson rouge signe une soustraction.

De la même manière, le cortège émotionnel risque de se mettre en branle et de perturber l'intégration des multiplications lors de grossesses gémellaires ou multiples et en cas de familles recomposées. Idem avec les divisions, lors des séparations et des divorces. 

Notons encore que divisions et multiplications sont en lien avec notre histoire embryologique : tout se résume en une cellule fécondée qui se divise en deux et se multiplie  (et se redivise) plusieurs fois. Absolument fantastique le mystère de la vie et absolument incroyable que cela puisse imprégner l'intégration des divers apprentissages ! 

Par conséquent, ce n'est pas en faisant plus de fiches avec plus de calculs que l'on va sortir des blocages. Mais c'est en dénouant les blocages, quelquefois simplement par la parole, car les mots sont les activateurs des é-motions et les libérateurs des maux. 

Mais il est également essentiel de s'assurer que l'enfant a véritablement intégré la signification des verbes "ajouter et enlever, additionner et soustraire" et qu'il est est capable de les ré-expliquer avec ses propres mots. Ce n'est pas toujours le cas. Et si, en arrière plan, l'enfant vit une perte de repères familiaux, il est bon de mettre des mots sur la nouvelle situation à intégrer, afin qu'il se sente rassuré.

Une séance de kinésiologie peut évidemment aider ! Certains exercices de Brain Gym également.

Je pense particulièrement au huit couché, symbole de l'infini, permettant de retrouver la fluidité. A pratiquer de préférence sous sa forme de ballade en 8, car cela réactive le corps en entier et remet en équilibre les dimensions gauche et droite, tout en intégrant le centre.

 

Je pense aussi aux mouvements croisés, favorisant l'activation simultanée des 2 hémisphères cérébraux et le passage du corps calleux. 

La mise en mouvement est, en quelque sorte, l'antidote des blocages.

L'idéal est de pratiquer ces exercices en y ajoutant des mots à réciter comme un mantra  (cela peut être : confiance, acceptation, fluidité , retour au calme ou ce qui émerge en lien avec la situation émotionnelle ) ou des phrases complètes, équilibrantes. L'intérêt est d'être à nouveau dans le flux et dans un aspect à la fois mélodique (cerveau droit / "résonner") et rythmique (cerveau gauche / "raisonner").

Je vous invite à ne pas sous-estimer le potentiel de libération énergétique dans les phrases ou les mots  que l'on prononce en conscience sur des mouvements répétitifs. 

Dernier point : il arrive également qu'il apparaisse un blocage dans les apprentissages (et pas forcément ou uniquement autour des maths), blocage corrélé à une histoire de santé. Ainsi, quand les ancêtres ont vécu un stress autour d’une opération médicale, à un certain âge,  il se peut que l'un ou l'autre des descendants récupère l'information cellulaire et réactive au même âge un stress qui n'est pas le sien ! Ce stress inconscient avec perturbation énergétique dans la vie de la personne est comme une relecture de l’âge de l’opération ou de l'événement.  

Exemple : une petite fille de 7 ans se retrouve soudainement en difficulté scolaire, sans explication rationnelle, si ce n'est que cet âge est la réactivation inconsciente (par fidélité) de l'âge auquel sa grand-mère a subi une importante opération, mettant sa vie en danger. Il se peut également que cette même petite fille réactive, (malgré elle et même si elle n'a pas connu sa grand-mère), le stress au double de cet âge, (14 ans), ou triple (21 ans) au quadruple (28 ans). Véritable épreuve émotionnelle à traverser qui semble donner la preuve qu'il est toujours question de multiplications et de divisions !!! 

Alors on s'en sort comment ??? On s'en sort grâce à la connaissance et à la conscience des événements. Pour cela, cela vaut la peine de partager les informations autour du système familial. C'est tout l'intérêt de prendre en compte l'aspect transgénérationnel dans les séances de kinésiologie, afin de pouvoir redonner à nos ancêtres,  avec beaucoup d'amour mais également de détermination,  leurs histoires, leurs programmes ...afin d'être véritablement dans notre propre flux.

Cela vous parle ?

En partageant cette page, vous contribuez à multiplier la connaissance et la conscience autour de ces problématiques ! MERCI ! 

Je vous  laisse maintenant réfléchir sur l'impact de calculs biliaires ou de calculs rénaux sur les apprentissages scolaires.  Ce sera l'objet d'un prochain billet ...

Au plaisir de partager avec vous...