BRAIN GYM et NEUROTRANSMETTEURS

Le stress est l’ennemi no 1 de la réussite.

Si un peu d’adrénaline va soutenir nos défis, trop de cortisol peut empêcher la réussite de ceux-ci.

Sous stress, le cerveau reptilien et son cortège d’automatismes et de réflexes prennent le relais, privilégiant la survie plutôt que l’accès à notre potentiel. Nous perdons la faculté d’agir intelligemment et consciemment pour être dans un mode de réactivité et de survie ! Nous allons fuir ou lutter, perdant ainsi notre fluidité.

Pour sortir des blocages, je vous propose ici quelques mises en mouvement, issus du Brain Gym, mais dans une version inédite et innovatrice et faisant des liens avec les neurotransmetteurs.

Commençons par un petit rappel sur notre cerveau :

Notre cerveau est composé de 3 étages : (de bas en haut)

1.      Le cerveau reptilien, responsable de notre survie

2.      Le système limbique (en lien avec nos émotions et zones de la mémoire)

3.      Le cortex, ressemblant étrangement à un cerneau de noix, composé de deux hémisphères et d'une zone de transfert entre les deux.

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Le cerveau, c'est avant tout une centrale électrique, dans laquelle neurones, axones, dendrites et neurotransmetteurs (NT) ont un rôle bien défini.

Les neurotransmetteurs, sortes de médiateurs chimiques, sont soit excitateurs, soit inhibiteurs. Ainsi, l'acétylcholine et la dopamine , accélérant l'influx électrique, participent à la mémorisation et à l’apprentissage, alors que la sérotonine et le GABA prennent part à la gestion du stress et du sommeil, régulant les actions excitatrices des autres NT.

Mais ce n'est pas tout : on peut voir un lien entre le NT, son lieu de production dans le cortex et une mémoire spécifique.

J'ai choisi ici de porter mon attention sur la dopamine et le GABA, et de les mettre en lien avec des exercices de Brain Gym. (une 2ème partie viendra compléter cette information)

Commençons par la détente, avec le GABA. Anxiolytique naturel, il possède un effet apaisant et stabilisateur sur le cerveau, empêchant d'être survolté et  par conséquent, inefficace. L'exercice qui entre en résonance avec le GABA est une variation du huit couché, que j'ai intitulé la BALLADE EN HUIT COUCHE.

Inspiré du Brain Gym, l'intention est de sortir des blocages qu'aurait pu créer le stress et de retrouver la fluidité. Bien évidemment, cet exercice peut se faire à titre préventif. Le symbole du huit couché (lemniscate) représente l’infini. 

Se balader sur la forme du huit couché va nous mettre dans un état méditatif, de par la répétition incessante du mouvement et de son flux continu. Commencer et terminer par le centre, en étant conscient que c'est à a la fois un lieu de passage et de centrage. Veiller à ne pas laisser le regard tomber en direction du sol, mais garder les yeux devant soi. On aura ainsi une forme de rencontre entre la verticalité de la posture et l'horizontalité du regard. 

Cette variation en ballade implique principalement les jambes et favorise une expérience d'enracinement et de détente. Le rythme répétitif des pas fait progressivement écho à nos battements de coeur et notre pulsation interne peut comme ralentir. 

La ballade en huit est l'idéale pour l'apprentissage par coeur à haute voix. Ceci d'autant plus qu'elle va activer le GABA, lequel est produit dans les lobes temporaux (en-dessus des oreilles) et en lien avec la mémoire verbale. Ce qui est fantastique, c'est qu'automatiquement le mouvement de la marche va se stopper, faisant comme un arrêt sur image, quand l'information à savoir sur le bout des doigts n'est pas suffisamment intégrée et sue. Cette manière de superposer le mouvement à la mémorisation est très efficace pour tous les apprenants kinesthésiques : elle permet de vraiment in-corporer (de mettre dans le corps) la connaissance.

Le manque de GABA se manifeste par des réactions impulsives ou agressives, une tendance à beaucoup gamberger et à perdre ses moyens. Ainsi que des difficultés de concentration et des maux de dos au niveau des trapèzes.

Du côté des NT excitateurs et boostants,  c'est la DOPAMINE qui est en tête. Ce NT joue un rôle dans la motivation physique, morale, psychique et favorise un esprit vif et alerte. La dopamine nous permet de concevoir un projet et d’avoir envie. La dopamine est associée avec deux autres NT :  la noradrénaline,  qui permettra la concrétisation du projet. Et l'adrénaline, nécessaire à la motivation et à l'excitation menant à la réalisation du projet. Un excès d'adrénaline peut créer trop de stress alors qu'en cas de déficit, le projet n'aura pas la force d'aboutir.  

La dopamine est impliquée dans la mémoire de travail et elle est en relation avec les lobes frontaux, lieu de notre intelligence de raisonnement, nous permettant d'affronter et de nous confronter, de manière sensée, à des situations diverses. 

Le manque de dopamine se manifeste par une fatigue excessive, un épuisement, une perte d’envie de construire,  une absence de motivation et de projets, de la procrastination et de l'irritabilité, des troubles déficitaires de l’attention et hyperactivité...

L'exercice du Brain Gym permettant le plus d'activer la motivation et en plus, en lien avec les lobes frontaux, est, à mon sens, le CROSS CRAWL. Tous les kinésiologues connaissent les MOUVEMENTS CROISES, mais je vous propose d'en découvrir de nouvelles facettes. A vous d'expérimenter et de découvrir, par vous-même, qu'il y a une réelle différence.

Les mouvements croisés permettent de faire collaborer les deux hémisphères cérébraux, et ainsi, d'avoir accès de façon simultanée à nos intelligences créative et logique. L'espace du corps calleux, situé entre les deux hémisphères, va pouvoir jouer son rôle de transfert de l'information. Le passage de la ligne médiane va reproduire le fonctionnement croisé propre à notre cortex (l'hémisphère gauche contrôle le côté droit du corps , et vice versa).

Je vous livre quelques clés pour créer la différence : démonstration sur YouTube  https://www.youtube.com/watch?v=dOUwnegxkpQ

- une conscience posturale, favorisant à la fois l'enracinement et l'allongement du corps, avec un temps de passage au centre, et retour à la verticalité et alignement (et non pas un corps recroquevillé sur lui-même). 

- une attention soutenue sur la respiration, avec une cohérence dans le rythme respiratoire lié à l'inspire et à l'expire (et non pas une absence de respiration ou une respiration chaotique)

- un regard dirigé vers un centre ou au centre d'un X (et non pas des yeux qui s'échappent n'importe où)

- une lenteur et une maîtrise de la gestuelle, avec un développement de la proprioception (et non pas une forme d'agitation dans un pur esprit de gymnastique et de simple latéralité)

Ma vision du Brain Gym, telle que je la propose dans mon livre GENIAL, J'Y ARRIVE ENFIN (www.kinessence.ch /mes-ouvrages) est nourrie par mes pratiques énergétiques de Qi Gong, yoga et calligraphie, ainsi que par ma pratique du piano. Elle est le fruit de 15 ans d'expérience avec de nombreux enfants en difficulté scolaire.

Le Brain Gym est aussi l'idéal pour les adultes et facilite la gestion du stress et l'accès à notre plein potentiel. Il permet d'éviter que le cortisol ne prenne le dessus et ne s'installe de façon permanente. Il permet de trouver un bon équilibre entre l’investissement et l'engagement (mise sous tension) et le relâchement et la détente.

Que chaque jour vous permette de vous déployer autour de votre aXe de symétrie et de prendre de l'eXpansion.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ALLER A L'ESSENTIEL

Face à la frénésie de décembre, je vous invite à vous focaliser sur l'essentiel, en privilégiant votre sens olfactif. Le but est d'éviter de vous essouffler, en apprenant, tout simplement, à mieux "souffler".

Les huiles essentielles font partie de ma boîte à trésors de kinésiologue ! Je les adore car elles ont la capacité de court-circuiter le mental, agissant directement sur le psycho-émotionnel. Je les utilise en énergétique,  à humer dans le flacon ou à poser sur un endroit spécifique du corps,  un chakra, un point de méridien ou à porter sur soi.

En ce début du mois de décembre, laissons la place aux résineux (abiétacées). Il y aura du vert, du vert et encore du vert ! 

  1. Dans quel but peut-on  utiliser les HE proposées ici ?
  2. A quel niveau agissent-elles ?
  3. Comment optimiser leur utilisation ? Quels liens peut-on faire avec le corps ? 

Le fait d’inspirer des huiles essentielles met quelque chose en mouvement à l’intérieur de nous, quelque chose qui s’adresse, non pas au mental, mais à une partie profonde en nous. Un peu comme le fait la kinésiologie ! 

Vous l'avez compris ... l'essentiel, c'est le souffle ! Bloquer ou retenir son souffle, c'est vivre à moitié ! A vous de choisir ...

 On y va ? Vous êtes prêt ??

Vous n'auriez pas idée de garder vos poubelles chez vous ??? Alors commencez par expirer et rejeter les déchets et le gaz carbonique ! Libérez de l’espace, faites de la place pour du neuf et un souffle régénérateur. Au travers de cette conscience et de cette pratique, vous dynamisez également les méridiens "Gros Intestin" et "Poumons"  et vous passez de l'un à l'autre de la même manière que vous avez passé de la respiration embryonnaire (GI) à la respiration terrestre (P) au moment de votre naissance. Tout en respirant, vous pouvez d'ailleurs tapoter le pouce et l'index ensemble, créant comme une boucle d'énergie, stimulant ces fameux méridiens du poumon (pouce) et du gros intestin (index).  

Apprenez aussi à aller chercher l’inspire au centre de la terre, laissez-le vous traverser des pieds à la tête, permettez-vous d’oxygéner totalement votre cerveau. Et même au-delà ! 

Osez une respiration légèrement sonore ! C'est la mélodie de la vie en vous ! Et cette mélodie est sacrée, ne l'oubliez pas ! 

Vous pouvez me croire .. c'est tout facile avec les HE : humez, respirez (ou encore sprayez ou diffusez)  ... et laissez faire, sans rien faire ! C'est peut-être aussi simple que ça, l'essentiel ! Et j'ai la chance que ce soit mon quotidien dans mon travail de kinésiologue : je pose un petit flacon après l'avoir fait respirer, et je me "repose". Je laisse faire "la magie" ... à moins que ce soit "l'âme agit" ! 

Que le mois de décembre vous apporte des étincelles de douceur, qu'il fasse briller vos yeux d'enfant et qu'il réchauffe votre coeur...

PS : un immense merci à Marc Ivo BOHNING, naturopathe  passionné d'huiles essentielles, qui m'a fait découvrir ce monde olfactif. Je vous recommande chaleureusement tous ses livres sur le sujet : www.aromarc.com

 

 

 

 

DE LA NAISSANCE A LA CONNAISSANCE

Quand j'accueille un enfant dans mon cabinet de kinésiologie, j'écoute sa maman me raconter la période de grossesse et la naissance. 

Les mots choisis par la maman pour évoquer le temps de l'accouchement racontent quelquefois des maux physiques mais également des maux émotionnels et énergétiques.  

Je deviens alors une oreille attentive, récoltant les mots qui racontent les maux...

Au-delà des mots entendus par mes oreilles, je capte également l’histoire derrière l’histoire, expérimentant encore et encore le lien que fait la MTC entre les oreilles, les reins et les pieds. 

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Ce schéma met en avant le fait que l’embryon est relié à l’énergie des reins et par conséquent, aux mémoires ancestrales. En effet, au moment de notre naissance, la lignée est derrière (ou avec) nous et leurs histoires également.

L’utérus (je préfère le mot « matrice » avec sa lettre M ) a été  terre d’accueil de l’embryon et du fœtus pendant 10 mois lunaires. 280 jours, avec des instants magiques tels que le 22ème jour (le cœur se met à battre) et le 40ème  ( c'est au 40ème jour que l'âme s'incarne par la fontanelle) et bien évidemment celui de la naissance proprement dite. 

L’étape de naissance est exigeante : véritable atterrissage (on arrive tout de même sur terre la tête la première) qui demandera un long travail d’incorporation, d’intégration du corps et de la matière. Pas tout simple au regard des 9 mois passés à flotter et à expérimenter l'apesanteur…

On oublie trop souvent que cela passe tout d’abord par accepter de se séparer du placenta qui représentait un prolongement de soi, sorte de jumeau ou de doudou. Cette phase est souvent plus douloureuse et délicate que de quitter le bain amniotique. Mais c'est une étape indispensable pour prendre sa place sur terre (« place en terre » = placentaire).

C'est à partir de l'espace sacré du coeur que l'on va pouvoir de se donner le droit de sortir des rôles dans lesquels le clan, consciemment ou inconsciemment,  cherche à nous maintenir. Pour véritablement naître à soi-même, il va falloir dépasser  limitations (l'imitation) et interdits ( inter-dits). Etre soi, c'est oser cesser d'être ce que les autres veulent que l'on soit ou ce que l'on pense que les autres veulent que l'on soit. 

Je vous propose deux exercices pour se sentir à sa place et s'ancrer dans la matière :

·      Pour développer sa place sur terre et au sein du clan : légèrement accroupis, les hanches souples, (posture de danse tribale)  marteler le sol en affirmant à haute voix : je m’appelle (+ prénom) et je  choisis d’être moi, solide dans mon enracinement à la Terre-Mère, libéré des entraves et des histoires non résolues de mes ancêtres. 

·       Pour développer sa place dans la fratrie : mouvements croisés de côté, en affirmant : je choisis de déployer mon potentiel et mon être infini,  je choisis l’eXpansion de mon potentiel.      

 Rien d’étonnant donc à ce que la vie nous propose maintes et maintes fois de rejouer ce passage de naissance. En effet, on retrouvera ce passage initiatique qu'est la naissance au travers du travail scolaire et au travers de la relation que nous entretenons avec notre travail.

Ainsi, si votre enfant ressent du stress dans sa scolarité, il peut être utile d’observer à quel moment la difficulté d’adaptation entre en jeu ( le stress exprime une difficulté d'adaptation). Ainsi, si le stress est à son maximum avant le test, c'est en lien avec la vie intra-utérine. Si c'est plutôt pendant le test ou l'examen, c'est au moment de la naissance, au travers de cette notion de passage. Si le stress subsiste après le test, ce sont les premiers instants de vie qui sont en jeu. 

Il est également fondamental de décoder ce qui est exprimé, verbalement ou non verbalement. Un enfant qui dit sans cesse : " c'est trop difficile, je ne vais pas y arriver " exprime ce qui s'est passé au moment de son engagement pour sortir du ventre maternel et au moment de l'expulsion. Celui qui a de la peine à s'enraciner peut être encore sous l'influence énergétique de la péridurale qui insensibilise le bas du corps et empêche de ressentir le contact avec la terre. Vous comprendrez aisément que provocations, péridurales, césariennes laissent des traces énergétiques qu'il sera sage de nettoyer et libérer...

Mais revenons à vous ! Comment êtes-vous dans votre travail ? Comment vous engagez-vous ? Acceptez-vous un travail qui ne vous correspond pas ? Etes-vous vraiment dans votre expansion ? Avez-vous un besoin viscéral de reconnaissance ?  

Prendre le temps de mettre des mots sur le travail de naissance ( le nôtre et celui de nos enfants) nous ouvre des portes, car naissance, connaissance, reconnaissance vibrent en résonance et sont intimement liés. 

plus d'infos sur : http://www.kinessence.ch/cours/

LE POIDS DE NOS ANCETRES

 

Si nous avons la chance d'avoir un bon métabolisme et un bon feu digestif, nous ne serons probablement pas sujet aux prises de poids.

Mais quelquefois dans notre vie, nous mettons beaucoup de soin pour ne pas prendre de poids  ou pour en perdre. Quelquefois, malgré toute notre bonne volonté et malgré un travail sur nos émotions et un plan alimentaire pertinent, cela ne fonctionne pas.

 Rageant, non ? 

Et si certaines de nos petites rondeurs et certains de nos  kilos en trop étaient en lien avec nos ancêtres ?  Ce serait bien arrangeant, vous en conviendrez !

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Revenons tout d'abord à notre corps. La digestion concrète des aliments ingérés et la digestion émotionnelle de nos histoires se passe au niveau de l'estomac. Le mot « digestion » nous indique que l’on a à gérer deux fois (di-gérer).

Le bol alimentaire continue ensuite son trajet dans l'intestin grêle. Long de 6-7 mètres, il est chargé de trier les informations nutritives, de les assimiler et de les intégrer. Les déchets seront évacués par le gros intestin, chargé en quelque sorte de laisser partir l’ancien pour faire de la place pour du neuf. En Médecine Traditionnelle Chinoise, l’intestin grêle et le gros intestin ont fonction de « 2ème cerveau ».

Et nos ancêtres dans tout ça ? Qu'ils nous soient connus ou inconnus, ils nous lèguent, bien malgré eux, des programmes qui ne nous sont pas forcément bénéfiques. Ils ont été les acteurs de leurs histoires, tout comme nous sommes les acteurs des nôtres. 

Mais alors ? Dans quelle région du corps sentons-nous que nous portons le poids de nos ancêtres ? Sur nos épaules, évidemment. Et ceci, même si nous le stockons ailleurs   (sur nos cuisses, autour du ventre …)

Le décodage de certains points de méridiens le confirme (cf : « le corps point part point » de Dr Gérard Athias).

 

11 IG : «  je porte le poids des ancêtres sur les épaules »

15 GI: « j’ai porté le poids des fautes de ma généalogie sur mes épaules »

Incroyable , non ?

Le plus souvent, nous n’avons pas  le corps que nous aimerions avoir, mais nous avons le corps que nous avons besoin d'avoir, et celui-ci vient en réponse à une histoire de notre clan. Le jour où l'histoire de nos ancêtres est pleinement intégrée, elle peut être éliminée. Alors, à cet instant, nos rondeurs, à cet endroit-là, n'ont plus de raison d'être. 

Plus d’infos sur ce sujet passionnant,  dans le stage « comment le poids transgénérationnel impacte notre silhouette »

http://www.kinessence.ch/cours/

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CONCENTRATION - DECONTRACTION

Avec le retour à l'école, c'est à nouveau la même rengaine. Mais finalement, que l'on soit enfant (élève) ou adulte, on en a tous besoin .... de cette fameuse concentration. 

QUELQUES FAUSSES IDEES SUR LA CONCENTRATION :

1. La concentration, c'est difficile

2. La concentration, c'est un peu prise de tête 

3. La concentration, c'est avant tout une histoire impliquant le cerveau

Entre nous ... si cela vous énerve que je répète intentionnellement le mot "concentration", c'est que vous êtes prêts à changer ! Cessez de dire sans cesse à votre enfant "concentre-toi"... et maintenant... concentrez-vous sur la suite pour finalement découvrir ce qu'il est préférable d'affirmer ! 

QUELQUES MEILLEURES IDEES SUR LA CONCENTRATION : 

1. Pas de concentration sans décontraction. La concentration n'est pas un état figé dans lequel le plaisir et la détente seraient absents 

2. La concentration commence par les pieds : un bon enracinement,  avec une réelle volonté de s'accrocher,   est indispensable

3. Le temps de concentration possible face à quelque chose de nouveau = notre âge en minutes (jusqu'à un maximum de 20). Pour un enfant de 10 ans, cela signifie qu'au bout de 10 minutes, il est nécessaire de prendre le temps de respirer profondément et de bouger un peu. Puis de se r-installer dans le corps

4. La concentration, c'est avant tout, une histoire de décision. Et c'est ensuite ... un apprentissage de tous les jours. Définir ce qu'on veut mettre dans notre bulle de concentration, c'est définir les priorités et choisir ce qui est important pour laisser le reste de côté.

5. La concentration nous invite à revenir au centre et à rester dans notre centre (dans notre corps et notre coeur) le plus longtemps possible. 

6. Humer de l'huile essentielle de citron, voilà qui fait des miracles pour mieux se concentrer...

 

Concentrez-vous sur cette image le temps de quelques respirations

Concentrez-vous sur cette image le temps de quelques respirations

 

POUR BOOSTER LA CONCENTRATION :  

1. Privilégier les petits-déjeûners protéinés pour éviter les hypoglycémies générées par un apport de sucre à un mauvais moment

2. Manger des noix, dont la forme rappelle étrangement celle du cortex

3. Boire suffisamment d'eau, en petite quantité

4. Intégrer le plaisir à l'apprentissage, par le biais de couleurs ou de jolis documents. La motivation est l'élément-clé de la concentration

5. Respirer amplement, pour apporter plus d'oxygène au cerveau

6. Porter votre attention sur le corps, et non pas sur la tête. 

EN CONCLUSION : 

« Reviens (reste) au centre de ton corps et de ton expérience. Dans l’ici et le maintenant (main - tenant). Dans la décontraction et dans la joie d’habiter ton corps. »

Je vous souhaite un beau voyage au centre de vous-même !